Proche du conte de Hansel et Gretel, Faraëkoto mêle habilement la danse, les mots et la vidéo. Tout commence dans la forêt profonde. Elle, c’est Fara, fillette aux jambes molles brillamment interprétée par Sandra Geco. Lui, c’est Koto, jeune garçon qui ne peut pas parler, interprété par Giovanni Léocadie, breaker tout en fluidité. Ensemble, ils vont apprendre à surmonter leurs limites et découvrir leurs propres forces.
La danse hip-hop est au cœur de l’engagement de la chorégraphe Séverine Bidaud qui, depuis 2005, a collaboré avec de grands noms de la danse (Montalvo-Hervieu, Cie Black Blanc Beur, Marion Lévy…). Dans Faraëkoto, elle s’empare du hip-hop pour exprimer le handicap comme un véritable langage du corps et nous offre un magnifique voyage à la fois visuel et poétique.
Avec le soutien de l’Odia Normandie, Office de Diffusion et d’Information Artistique de Normandie